Jo(ke)

name: jordane torres ­~ y-o: vingt et un ans ­~ job: profiteuse à temps pleins ­~ statut matrimoniale: célibataire ­~ avatar: zippora seven

intelligente, irresponsable, forte, directe cool, manipulatrice

elle s'invite un peu chez tout le monde n'ayant plus de logement depuis peu - c'est une glandeuse professionnelle shootait à la beu h24 - mais si vous la recevez elle vous préparera de délicieux petit plat et lavera votre linge *sourire commercial* - elle ment souvent pour arriver à ses fins - elle n'est pas très délicate et n'hésitera pas à vous dire que votre nouvelle coupe de cheveux est moche, tout en argumentant évidemment - elle rêve soit disant de quitter cette ville.

once upon another time

T'ouvres les yeux, lentement, très lentement. Un frisson te parcoure, t'as surement dû oublier de fermer la fenêtre, comme d'habitude en gros. Tu t'étires tel un chat puis sors du lit en prenant soin de t'enrouler dans une couette. Tu renifles tout en fermant ta fenêtre puis tu choppes un joint roulé la veille. Le coinçant entre tes lèvres tu cherches des yeux un briquet. N'en trouvant pas tu quittes la pièce que tu skuattes depuis maintenant plusieurs semaine et te dirige vers la cuisine. T'entres -simplement vêtu d'une culotte, d'un débardeur et d'une couette recouvrant tes épaules - salues rapidement le couple te servant d’hôte et te penche vers le gaz histoire d'allumer ton joint. Tu ne le vois pas mais l'mec à ton "amie" matte ton cul et c'est à c'moment qu'en profite sa copine pour te dire "Huum Jordane, tu sais ça fait plusieurs semaines que t'es ici, et avec Max on aimerait se retrouver un peu tout les deux .. hein mon amour?" il se contente de sourire, gêner, normal Max il est v'nu te proposer d'venir faire un tour dans son lit pendant que l'autre faisait les courses. toi tu te retournes vers eux, le visage neutre. T'hausses les épaules. "ok" tirant une latte de ton joint tu retournes dans ton ex-chambre remballes tes quelques affaires -embarques au passage quelques billets volés la veille dans le meuble où ils cachent leur frique- et te tires. Devant la porte t'aspires une nouvelle fois cette douce fumée si enivrante, un sourire se dessine sur tes lèvres, tu jettes ton sac sur ton épaule, c'est partis.

Ta journée tu l'as passeras à glander avec tes quelques potes, ton repas c'est un ami que te le payera et ta soirée tu l'as finira dans une chambre d’hôtel que tu te sera payé avec le frique volé un peu plus tôt dans la matinée. Tu n'as jamais été faite pour vivre une vie posée et rangée, toi t'aimes la liberté, t'aimes ne rien faire de tes journées ou décider subitement de bosser quelques jours pour te faire du friques de manière réglo, t'aimes ne pas te contenter d'un seul homme même si tu t'fais pas sauter par n'importe qui non plus. T'aimes ta vie de merde.